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Photos stage microéléctronique

 

La fabrication
Photogravure Attaque HF Dopage redistribution Aluminium Mise en boitiers
Les tests et mesures
Contrôles visuels défauts témoins Test sous pointes  
mesures épaisseur      

Photogravure

La résine photo-sensible est étalée sur la plaquette à l'aide d'une tourelle centrifuge

Ensuite l'insolation en superposant un masque à la plaquette

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La résine est ensuite développée (bain révélateur dans la machine à droite) comme une photo puis recuite sur la plaque chauffante.

Gravure (attaque Si02 à l'acide fluorhydrique)

D'abord le témoin pour connaitre le temps d'attaque

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puis la plaquette : le SiO2 set attaqué dans les zones sans résine

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Le dopage au phosphore

Les Connections en aluminium

Dépot d'Al sous vide par bombardement à l'argon d'une cible en Al. Le plasma Ar+ est lumineux

avant l'injection de l'argon la "qualité" du vide est de l'ordre de 1E-10 atm

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Résultat : alu partout sur une couche d'environ 0,5µm

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Une deuxième photogravure permet de graver l'aluminium

La mise en boitiers

D'abord scier la plaquette. Epaisseur de la scie 40µm. Espace entre 2 puces 100µm.

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on obtient ceci :

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"soudure" par ultrasons on distingue l'extrémité du fil (25µm) en avant de la pointe

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Vue de coté : la pince coupe le fil en reculant quand on est appuyé sur une soudure. On devine le chas de la pointe sur le zoom

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Contrôles visuels

Après le premier développement : résine partout sauf dans les parties à graver

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Après le second developpement

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Témoins de qualité de gravure

Repères d'alignement lors de la 2° photogravure.

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Défauts :

Un choc thermique

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Une goutte d'acétone sur la résine ?

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Ne pas rincer à l'eau (non miscible / triclo) le pinceau de la cire apiezon

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origine inconnue

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Les témoins :

Le témoin rectiligne représente le substrat de départ. la partie grise est le silicium. Elle a été attaquée par de l'acide fluorhydrique pendant que la partie colorée était protégée par de la cire apiézon. La partie colorée est restée recouverte de SiO2. On peut déduire de ce témoin la résistivité (donc le dopage initial du substrat) et l'épaisseur de l'oxyde de masquage.

Le témoin demi-lune a été dopé en même temps que la plaquette. puis attaqué à nouveau à l'acide HF. On peut en déduire la résistivité àprès dopage (niveau du dopage), l'épaisseur de l'oxyde qui s'est formé pendant le dopage, l'évolution de l'épaisseur de l'oxyde de masquage pendant le dopage.

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Tests sous pointes

Il permet de tester rapidement une quantité de puces pour avoir une idée du niveau de qualité et d'homogénéité de la plaquette.

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